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Dieu est descendu à Libreville—2 : Témoignage de Papa Nzoghe Bibang Robert

Je m’appelle NZOGHE BIBANG ROBERT. Je suis né en 1931 à Kango dans l’Estuaire au Gabon. Je suis conducteur de poids lourds à la retraite. En 1975, je suis tombé gravement malade des hanches. J’ai été évacué en France par le directeur général de SOCO-BA, l’entreprise où je travaillais, à cause de cette maladie.

En France, on m’a diagnostiqué une hernie discale qui a nécessité une intervention chirurgicale sur ma colonne vertébrale. J’ai donc passé près de deux ans à Paris et j’ai pu à nouveau utiliser ma jambe déjà atrophiée. Plus tard, pendant au moins 5 mois, j’ai souffert de graves problèmes pulmonaires accompagnés d’affreuses douleurs dans la colonne vertébrale. Je toussais beaucoup et j’avais souvent du mal à marcher. C’était comme ça tous ces derniers mois. Il y a environ deux semaines, ma fille Sr. Solange ENGONE, est venue à la maison et m’a invitée à assister à une grande convention qui devait se tenir dans une église située à environ 150m de chez moi. J’ai accepté l’invitation ; alors elle est venue me chercher ce dimanche 25/05/08 au matin. J’étais courbée et titubante tandis que je marchais pour traverser la route et monter l’escalier, soutenue par ma fille. Je suis resté pour le ministère depuis le début jusqu’au moment où l’on a prié pour les malades. J’ai été émerveillé par les choses qui s’y sont passées : la louange, le message, etc. Pendant les prières, j’ai entendu une voix claire me parler. J’ai regardé tout autour pour voir la personne qui me parlait, mais personne ne faisait attention à moi. La voix continuait à chuchoter très doucement à mon oreille en disant : « NZOGHE BIBANG, lève-toi et allons-y ! » Quand le prédicateur a demandé à ceux qui avaient reçu leur guérison de monter sur scène et que certaines personnes montaient déjà sur scène , la voix continuait d’insister ; alors je me suis levé et je suis allé vers la scène. Quand je suis arrivé sur les marches, j’ai eu l’impression que quelqu’un me soulevait par les deux jambes, comme un enfant. Je me suis donc retrouvé sur scène sans sentir mes jambes marcher sur l’escalier. C’est sur scène que je me suis rendu compte que je marchais debout, d’un pas ferme et rapide. C’est alors que j’ai annoncé à toute l’assemblée que je venais de recevoir la guérison de la douleur qui m’avait paralysé le dos et la guérison des problèmes pulmonaires. Depuis ce jour, je me promène dans le quartier, marchant comme un jeune homme, les mains dans les poches comme ça : (il se lève et fait une bonne démonstration). Beaucoup de gens qui me voient ces jours-ci disent que j’ai l’air bien, que je dégage une certaine fraîcheur et que je suis subitement rajeunie (c’est ce qu’a confirmé Sr Solange qui m’a invitée et qui a participé à cet entretien). Je réponds en leur disant que c’est Jésus qui l’a fait pour moi. Aujourd’hui, ce qui m’arrive me confirme que je suis désormais sur le bon chemin, celui du Seigneur Jésus. Je suis éternellement reconnaissant à Dieu.

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